Les phobies, quelles qu'elles soient, ne doivent pas être associées à l'idée de peurs, classiquement retenue par les psychologues, peurs complexes dérivant d'une construction morbide, dite pathologique, dérivée naturelle d'un trauma antérieur. En somme le phobique (en souffrance permanente rappelons-le) serait responsable de son trouble psychique! Non seulement, le sujet phobique n'est pas responsable de son état, mais il en est la victime permanente.

   Au cours de ma carrière de thérapeute, j'ai pu rencontrer des patients phobiques, dont l'une avait pour objet, le passereau. C'était une martiniquaise, ne doutant pas un instant du danger que représentait un tel rapace! Cette réaction démesurée, montre, s'il fallait encore argumenter la chose, qu'un prisme hyperphysique entrait en jeu dans la relation à l'objet du danger. Et, la nullité des programmes thérapeutiques actuels, est de confronter le souffrant à l'objet de ladite phobie. Ce qui est une aberration, et à parler en termes crus, de ce procédé, le thérapeute "en rajoute une couche"! Ce qu'il faut éviter bien entendu.

   Les éléments entrant en jeu pour métamorphoser une peur en phobie, ne sont pas du domaine de la psyché. J'explique que le champ de conscience s'élabore comme une ouverture de la conscience personnelle sur la conscience cosmique, et à l'instant de la cohérence quantique du cerveau, engageant un effondrement de la fonction d'onde, les informations de l'inconscient collectif se trouvent agglutinés aux informations personnelles du sujet, vivant une scène existentielle classique, où l'objet qui deviendra phobique est bien présent. Cette phrase demande une explication certaine:  La conscience personnelle est la votre, la mienne, en tant que nous sommes conscients de nous mêmes, dans une situation donnée; la conscience cosmique est celle qui englobe l'Humanité entière comme l'ensemble des processus de création; l'effondrement de la fonction d'onde se réalise quand l'ensemble des informations cérébrales sont suffisantes pour élaborer une phase de conscience et effondre le système, pour en faire un trait ou une phase de conscience; l'inconscient collectif est l'ensemble de tout le savoir existant et ayant existé sur terre, depuis la nuit des temps, auquel nous pouvons associer tous les archétypes, éléments primitifs de notre capacité à penser. Ainsi, quant une personne est confrontée à un évènement dans lequel un petit oiseau s'insère (c'est l'exemple), celui-ci va bénéficier d'une sur-interprétation, qu'offriront les éléments de savoir, venus de l'inconscient collectif. Le tour est joué au moment de la prise de conscience, où tous les éléments de savoir se rapportant à l'oiseau, et à la scène sont mêlés, et comme, sachez-le bien, le cerveau ne fait pas la différence entre le réel et l'imaginaire, l'oiseau devient le danger irrépressible que nous connaissons chez les phobiques. Comprenez alors que la thérapie imposant à nouveau le face à face avec l'objet phobique est une aberration. Ces thérapies sont caduques bien entendu, mais actuellement la psychologie, dite Académique, n'a aucun moyen adapté, sinon comme on dit, "ça soignerait", et cela se saurait, ce qui n'est pas le cas.

  Pour le traitement, une nouvelle approche du domaine cérébral est nécessaire et indispensable, c'est la nôtre, et le traitement par la théorie synchrone universelle, est incontournable. Pour ce faire, un rendez-vous doit être pris; il faut disposer d'un téléphone avec ou sans écouteurs, d'une heure de temps, et vous êtes guéris. Et je suis tellement sûr de ma thérapie( que je pratique depuis plus de 15 ans) que vous ne me réglerez la consultation (parfois deux, mais c'est rare, souvent pour bien saisir intérieurement ce qu'il s'est passé) qu'une fois guéri, constat établi, que le petit oiseau n'est bien qu'un petit oiseau. Le prix des consultations ne dépasse pas 80 euros.